
DATES
Du 30 mai au 25 juin 2023
Du mardi au samedi à 21h
Le dimanche à 17h
Durée : 1h20
TARIFS
1ère catégorie
41 €
2ème catégorie
31 €
3ème catégorie
21 €
OFFRE PINTER
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Sur place et par téléphone :
01 46 06 49 24
Du mardi au vendredi de 17h30 à 21h
Le samedi de 16h à 21h
Le dimanche de 13h à 17h
PRODUCTION
Théâtre National de Bretagne / Compagnie Seconde Nature
CO-PRODUCTION
La Comédie de Reims – CDN
ATTACHÉE DE PRESSE
Dominique Racle
dominiqueracle@agencedrc.com
DU 30 MAI AU 25 JUIN 2023

LA COLLECTION
D’HAROLD PINTER
D’Harold Pinter
Traduction Olivier Cadiot
Mise en scène Ludovic Lagarde
Avec Mathieu Amalric, Valérie Dashwood, Micha Lescot et Laurent Poitrenaux
Dramaturgie Sophie Engel
Lumières Sébastien Michaud
Scénographie Antoine Vasseur
Collaboration à la scénographie Éric Delpla
Costumes Marie La Rocca
Maquillages, perrugues et masques Cécile Kretschmar
Réalisation sonore David Bichindaritz
Conception vidéo Jérôme Tuncer
Assistante à la mise en scène Céline Gaudier
Assistante à la traduction Sophie Mckeown
Assistante costumes Peggy Sturm
Couturière Armelle Lucas
Assistante maquillage, perruques et masques MITYL BRIMEUR
Habilleuses Florence Messé et Noémie Reymond
Maquilleuses Mytil Brimeur, Juliette Hui et Charlène Torres
Régie générale François Aubry et Corto Tremorin
Construction du décor ATELIER DU GRAND T – Nantes
Production Théâtre National de Bretagne / Compagnie Seconde Nature
Coproduction La Comédie de Reims – CDN et Le Grand R – Scène nationale de la Roche-sur-Yon
La Compagnie Seconde Nature est conventionnée par le Ministère de la culture.
L’Arche est agent théâtral du texte représenté.
À VOIR ÉGALEMENT L’Amant d’Harold Pinter
RÉSUMÉ
James veut savoir la vérité sur ce qui s’est réellement passé une nuit dans un hôtel de Leeds entre sa femme Stella et Bill, tous deux créateurs de mode.
Tandis que Bill vit chez Harry dans une villa de Belgravia, un quartier huppé de Londres, Stella habite avec James, son mari, dans un appartement de Chelsea, le quartier des artistes.
Quelle est la vraie nature du lien qui unit Harry et Bill ? Et quel rapport entretiennent-ils avec le pouvoir politique ? Que cherche vraiment James ? La vérité seulement ? Pourquoi ? Et Stella, que veut-elle ?
A quoi pense-t-elle ?
NOTE D’INTENTION
LUDOVIC LAGARDE
La Collection est une pièce fascinante et sombre. Le texte distille le poison du mensonge.
(…) Quels réglages passionnels guident chacun de ces personnages entre désir, fantasme, jalousie, envie, mépris et volonté de puissance …
Pinter nous conduit sur de multiples pistes comme autant de départs de fictions, créant une collection d’interprétations. Car tout est fragment dans cette pièce. Mélange inédit de réalisme et d’abstraction, elle ne dit des personnages que l’essentiel qui sert l’action. Esquisse, puzzle, l’intrigue emprunte sa forme au roman noir. Ces quatre-là semblent à la recherche de leur propre histoire. De leur propre mémoire. Les outils de cette quête : l’écriture de Pinter, l’interprétation des acteurs, l’imagination des artistes, celle des spectateurs, et… une cabine téléphonique. Mais la cabine téléphonique a maintenant disparu. Depuis 1962, date d’écriture de la pièce, le développement d’Internet, l’invention des réseaux sociaux, l’arrivée fulgurante des outils numériques et des téléphones portables… tout cela nous a transformés. Notre rapport à la connaissance et à la vérité a changé. La surveillance, le contrôle, les algorithmes ont envahi nos vies. La transparence !
Nous sommes censés aujourd’hui tout voir, tout entendre, tout savoir en temps réel grâce aux nouvelles technologies, et pourtant… toujours autant d’opacité. Plus la vérité semble offerte, plus le mensonge est colporté.
Les fake news, les alternative facts, les manipulations, les révisionnismes, les théories du complot etc., plus les techniques de dématérialisation progressent et le monde virtuel se développe, plus la vérité semble nous échapper. Une autre vie, la seconde, celle de notre existence virtuelle, nous suit comme une étoile ou comme une ombre.
Alors que deviennent aujourd’hui ces personnages créés par Pinter il y a plus de 50 ans, qui semblent flâner dans la ville moderne comme s’ils étaient à l’avant-garde de nos modes d’existence ?
BIOGRAPHIES
▲ HAROLD PINTER
Harold Pinter est un écrivain, dramaturge, metteur en scène et réalisateur britannique. Il entre à la Hackney Downs Grammar School où il s’illustre notamment dans les rôles de Macbeth et de Roméo mis en scène par Joseph Brearly. Il intègre ensuite brièvement la Royal Academy of Dramatic Art en 1948 et publie ses premiers poèmes et un roman semi- autobiographique Les Nains [The Dwarfs].
En 1951, Pinter est admis à l’École centrale des arts de la scène. C’est en 1957 que sa première pièce La Chambre [The Room] est présentée, suivie de L’Anniversaire [The Birthday Party] (1958). Le succès lui vient en 1960 avec Le Gardien [The Caretaker], La Collection [The Collection] (1961), L’Amant [The Lover] (1963), Tea party puis Le Retour [The Homecoming] (1965), qu’il adaptera lui-même pour le cinéma quelques années plus tard. L’œuvre de Pinter est marquée, dès le début, par l’influence du théâtre de l’absurde et de Samuel Beckett. Pour Joseph Losey, Pinter écrit le scénario du film The Servant (1962), et l’adaptation de Accident (1967) et du Messager [The Go-Between] (1969).
Parallèlement à sa carrière de dramaturge, Pinter exerce des activités de comédien, notamment dans ses propres pièces. Il a également réalisé le long métrage Butley, tiré de la pièce de Simon Gray, en 1973. Il revient à la scène en 1971 avec C’était hier [Old Times] et met en scène des pièces créées au National Theatre, dont il devient directeur associé en 1973. Dès lors, il est présent sur tous les fronts: cinéma, radio, télévision et théâtre avec notamment Ashes to Ashes (1996) et Celebration (2000). Il reçoit le prix Nobel de littérature en 2005.
▲ LUDOVIC LAGARDE
C’est à la Comédie de Reims, au Théâtre Granit de Belfort et au Channel de Calais qu’il réalise ses premières mises en scène.
En 1993, il crée Sœurs et frères d’Olivier Cadiot. Depuis 1997, il adapte et met en scène plusieurs romans et textes de théâtre de l’auteur : Le Colonel des Zouaves (1997), Retour définitif et durable de l’être aimé (2002) et Fairy Queen (2004). En 2001, il commence son parcours d’opéra aux côtés de Christophe Rousset, avec 3 mises en scène d’ouvrages de Lully, Charpentier et Desmarets. En 2008, il met en scène les opéras Roméo et Juliette de Pascal Dusapin à l’Opéra Comique et Massacre de Wolfgang Mitterer au Théâtre São João de Porto, au festival Musica à Strasbourg, puis à la Cité de la Musique à Paris. Au Festival d’Avignon 2010, il crée Un nid pour quoi faire et Un mage en été d’Olivier Cadiot. En janvier 2012, il présente à la Comédie de Reims l’intégrale du théâtre de Georg Büchner, reprise au Théâtre de la Ville en janvier 2013. En mars 2013, il met en scène au Grand Théâtre du Luxembourg et à l’Opéra-Comique Le Secret de Suzanne de Wolf Ferrari et La Voix humaine de Francis Poulenc.
Il crée Lear is in Town d’après Le Roi Lear de Shakespeare pour la 67e édition du Festival d’Avignon. En 2014, il met en scène Quai ouest de Bernard-Marie Koltès au Théâtre National de Grèce à Athènes. À l’automne 2014, il réalise L’Avare de Molière à la Comédie de Reims, puis La Baraque d’Aiat Fayez en 2015, dans le cadre du festival Reims Scènes d’Europe. En 2016, il met en scène Marta de Wolfgang Mitterer à l’Opéra de Lille et en 2017 Le Nozze di Figaro de Mozart à l’Opéra National du Rhin. De janvier 2009 à décembre 2018, Ludovic Lagarde dirige la Comédie de Reims, Centre Dramatique National.
▲ MATHIEU AMALRIC
Mathieu Amalric est acteur et réalisateur.
Il se voit proposer en 1984 par Otar Iosseliani de jouer la comédie dans Les Favoris de la lune. Après ce premier contact avec le cinéma (et une année d’hypokhâgne), il enchaîne les tournages en tant qu’accessoiriste, régisseur ou cantinier. Stagiaire assistant réalisateur sur Au revoir les enfants, il travaille aussi auprès de João César Monteiro et Romain Goupil. En 1996, il accède à la notoriété en tant que comédien : remarqué dans Le Journal du séducteur, il incarne Paul Dedalus dans Comment je me suis disputé… (ma vie sexuelle) d’Arnaud Desplechin, prestation pour laquelle il décroche le César du Meilleur espoir en 1997. Il tourne avec André Techiné (Alice et Martin), Olivier Assayas (Fin août, début septembre) ou Jean-Claude Biette et devient le compagnon de route des frères Larrieu (Un homme, un vrai, 2003). En 2004,
Il joue pour Desplechin dans Rois et reine, une performance saluée par un César du Meilleur acteur. En 2007, il est dans Le Scaphandre et le Papillon, il fait aussi partie de la troupe réunie par Valeria Bruni Tedeschi (Actrices) et campe le héros de La Question humaine de Nicolas Klotz.
Il joue régulièrement pour de nombreux cinéastes « auteurs » : Damien Odoul, Bertrand Bonello, Alain Resnais, Noémie Lvovsky et, surtout, Arnaud Desplechin : Un conte de Noël, Jimmy P. (Psychothérapie d’un Indien des plaines), Trois souvenirs de ma jeunesse,
Les Fantômes d’Ismaël, Barbara.
Il est également à l’affiche de super- productions comme Mesrine : L’Ennemi public n°1 de Jean-François Richet, Munich de Steven Spielberg, Quantum of Solace de Marc Forster, ou Cosmopolis de David Cronenberg. Récemment, il était à l’affiche du film Le Grand bain, réalisé par Gilles Lellouche.
Parallèlement à ses activités d’acteur, Mathieu Amalric s’illustre dans la réalisation, d’abord en 1997 avec Mange ta soupe. Suivent Le Stade de Wimbledon (2001), La Chose publique (2003). En 2010, il réalise Tournée, présenté à Cannes en compétition officielle et récompensé par le Prix de la mise en scène. Par la suite, il est le réalisateur de La Chambre bleue et Barbara (Prix « Un Certain Regard » du Festival de Cannes 2017, 2 Césars du cinéma). Son dernier film Serre moi fort a été présenté au Festival de Cannes en 2021.
▲ VALÉRIE DASHWOOD
Valérie Dashwood est actrice.
Elle se forme au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris auprès de Dominique Valadié, Daniel Mesguich et Stuart Seide. Au théâtre, elle joue sous la direction d’Emmanuel Demarcy-Mota dans État de Siège de Camus, Alice et autres merveilles, Ma vie de chandelle et Wanted Petula de Melquiot, Six personnages en quête d’auteur de Pirandello, Le Faiseur de Balzac, Victor ou les enfants au pouvoir de Vitrac, Rhinocéros d’Ionesco, Mara Sade de Weiss, Conte d’amour et Peine d’amour perdue de Shakespeare; et plus récemment La Grande Magie de Eduardo de Filippo créé en décembre 2022 au Théâtre de la Ville.
Au théâtre elle travaille avec différents metteurs en scène : Jean-Pierre Garnier dans Sweet Home de Catherine ; Daniel Jeanneteau dans Iphigénie de Racine ; Éric Ruf dans Les Belles endormies du bord de Seine de Catherine; Stuart Seide dans Le Régisseur de la chrétienté de Barry; Carole Thibault dans Le Misanthrope de Molière; Anatoli Vassiliev dans Le Joueur de Dostoïevski ; Serge Brinçant dans Plaidoyer pour un boxeur de Romano.
À l’écran, on a pu la voir dans Une fausse image de moi et Errance de Grégoire Vigneron, À bout portant de Fred Cavayé ou encore Le Petit Poucet de Marina De Van. Elle joue beaucoup pour la télévision, notamment dans la série Profilage ou dernièrement dans la série Paris Police 1900.
Pour Ludovic Lagarde, elle joue dans Doctor Faustus Lights the Light de Stein adapté par Olivier Cadiot, Un nid pour quoi faire, Fairy Queen et Retour définitif et durable de l’être aimé d’Olivier Cadiot En septembre 2023, elle jouera dans la prochaine création de Ludovic Lagarde Médecine générale d’Olivier Cadiot qui sera créé à la MC93 de Bobigny.
▲ MICHA LESCOT
Dès la sortie du Conservatoire national supérieur d’art dramatique en 1996, Micha Lescot travaille avec Roger Planchon, notamment dans La Tour de Nesle, d’après Alexandre Dumas et Le Triomphe de l’amour de Marivaux.
On le retrouve également dans des mises en scène de Philippe Adrien, Jacques Nichet, Denis Podalydès, David Lescot ou de Jean-Michel Ribes dans Musée haut, musée bas (Molière de la Révélation théâtrale).
Éric Vigner le dirige dans plusieurs spectacles : Où boivent les vaches de Roland Dubillard, Jusqu’à ce que la mort nous sépare et Sextett de Rémi De Vos.
Il rencontre Luc Bondy en 2008 pour La Seconde Surprise de l’amour de Marivaux. Leur collaboration se poursuit avec Les Chaises d’Ionesco (Prix du meilleur comédien du Syndicat de la Critique en 2011), Le Retour d’Harold Pinter, Le Tartuffe de Molière et Ivanov d’Anton Tchekhov, rôle pour lequel il recevra à nouveau le Prix du meilleur comédien du Syndicat de la Critique en 2015 et pour lequel il sera nommé pour le Meilleur comédien dans un spectacle de théâtre public à la cérémonie des Molières 2015.
En 2017, il joue dans Bella Figura, pièce écrite et mise en scène par Yasmina Reza. Il forme également un duo avec Jérôme Deschamps dans Bouvard et Pécuchet au Théâtre de la Ville à Paris.
Il est également sur la scène du Théâtre du Rond-Point dans la pièce Départ volontaire de Rémi De Vos, mise en scène par Christophe Rauck.
En 2021, il incarne Charles dans la pièce de Bernard-Marie Koltès, mise en scène par Ludovic Lagarde. En 2022, il incarne Richard II dans la pièce de William Shakespeare, mise en scène par Christophe Rauck, jouée au festival d’Avignon et au Théâtre Nanterre-Amandiers.
En 2023, il jour dans House écrit et mise en scène par Amos Gitaï au Théâtre National de la Colline.
Au cinéma, il a tourné entre autres avec Claire Denis, Albert Dupontel, Dante Desarthe, Noémie Lvovsky, Bertrand Bonello, Léa Fazer, Sébastien Betbeder, Alexis Michalik.
En 2022, il tourne dans Les Amandiers de Valeria Bruni-Tedeschi, où il est nommé aux Césars pour le meilleur acteur dans un second rôle.
▲ LAURENT POITRENAUX
Laurent Poitrenaux est comédien.
Il travaille essentiellement au théâtre, sous la direction de Christian Schiaretti (Le laboureur de Bohême de Johannes von Saaz), Thierry Bedard (L’Afrique fantôme de Michel Leiris), Daniel Jeanneteau (Iphigénie en Aulide de Jean Racine), Yves Beaunesne (Oncle Vania de Tchekhov et Dommage qu’elle soit une putain de John Ford) et Arthur Nauzyciel (Le Malade imaginaire ou le silence de Molière, Jan Karski (Mon nom est une fiction), La Mouette). Avec le comédien Didier Galas, il créé le tour de chant les frères Lidonne, puis 3 cailloux et la Flèche et le moineau d’après Gombrowicz. Avec François Berreur, il crée Ébauche d’un portrait, basé sur le journal de Jean-Luc Lagarce, pour lequel il reçoit le prix du Syndicat de la Critique comme Meilleur comédien de l’année 2008. En 2018, il incarne le personnage principal du long-métrage Le ciel étoilé au-dessus de ma tête d’Ilan Klipper. Dernièrement on a pu le voir dans la série OVNI(s) d’Antony Cordier (2021) et dans Les promesses de Thomas Kruithof (2022).
Il joue dans pratiquement tous les spectacles de Ludovic Lagarde (Trois dramaticules de Samuel Beckett, L’hymne de György Schwajda, Le cercle de craie caucasien de Bertolt Brecht, Faust ou la fête électrique, Oui dit le très jeune homme de Gertrude Stein, Richard III de Peter Verhelst, et plus récemment L’Avare de Molière présenté au TNB en 2016) et a créé avec lui plusieurs textes d’Olivier Cadiot : Sœurs et frères, Le Colonel des Zouaves, Retour définitif et durable de l’être aimé, Fairy Queen, Un nid pour quoi faire, Un mage en été. En septembre 2023, il jouera dans la prochaine création de Ludovic Lagarde Médecine générale d’Olivier Cadiot qui sera créé à la MC93 de Bobigny.
Laurent Poitrenaux est acteur associé au Théâtre National de Bretagne et responsable pédagogique de l’Ecole du TNB.
REVUE DE PRESSE
Servie par un casting hors pair, la mise en scène de Ludovic Lagarde sublime cette histoire de jalousie universelle nourrie de fantasmes, de mensonges et de non-dits.
Libération
TTT : Il faut aller admirer la perversité de Mathieu Amalric, le mystère de Valérie Dashwood, l’ambiguïté de Micha Lescot, la cruauté de Laurent Poitrenaux.
Télérama
Pinter en un carré magique !
Les Échos
DATES
Du 30 mai au 25 juin 2023
Du mardi au samedi à 21h
Le dimanche à 17h
Durée : 1h20
TARIFS
1ère catégorie
41 €
2ème catégorie
31 €
3ème catégorie
21 €
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Le samedi de 16h à 21h
Le dimanche de 13h à 17h
PRODUCTION
Théâtre National de Bretagne / Compagnie Seconde Nature
CO-PRODUCTION
La Comédie de Reims – CDN
ATTACHÉE DE PRESSE
Dominique Racle
dominiqueracle@agencedrc.com