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DATES

Le lundi 24 avril 2023

Durée : 1h15

TARIFS

Tarif unique / Placement libre
22 €

BILLETTERIE

Sur place et par téléphone :
01 46 06 49 24
Du mardi au vendredi de 17h30 à 21h
Le samedi de 16h à 21h
Le dimanche de 13h à 17h

PRODUCTION

Compagnie L’Aurore Boréale

CO-PRODUCTION

Coproduction Ensemble 2e2m

Avec le soutien du GRAME – Centre national de création musicale et du CNM

 

LE LUNDI 24 AVRIL 2023 À 20H30

COSMOS

OPÉRA D’APRÈS WITOLD GOMBROWICZ

Musique Fernando Fiszbein
Livret Fernando Fiszbein et Marie Potonet
Mise en scène Jacques Osinski
Avec Grégoire Tachnakian (Witold), David Migeot (Fuks), Léa Trommenschlager (Bolita), Vincent Vantyghem (Léon)

Direction musicale Alphonse Cemin
L’Ensemble 2e2m
Réalisateur informatique musicale Max Bruckert / GRAME

Scénographie-vidéos Yann Chapotel
Lumières Catherine Verheyde
Costumes Hélène Kritikos
Photographie © Pierre Grosbois

Production Compagnie L’Aurore boréale
Coproduction Ensemble 2e2m
Avec le soutien du GRAME – Centre national de création musicale 

Création 2022 dans le cadre de La B!ME Biennale des musiques exploratoires – Grame, Lyon

Ce spectacle bénéficie de l’aide à l’écriture d’oeuvres musicales originales du Ministère de la Culture et du Centre Nationale de la Musique

COSMOS

Pour son troisième opéra, le choix du compositeur Fernando Fiszbein s’est porté sur Witold Gombrowicz. Inspiré du roman éponyme, Cosmos renouvelle la collaboration d’une équipe artistique prolifique avec le metteur en scène Jacques Osinki et le vidéaste Yann Chapotel, déjà soudée lors de la création de l’opéra Avenida de los Incas 3518.

Fernando Fiszbein a su trouver le potentiel pour que théâtre et musique puissent se rencontrer et « parler » la même langue. Gombrowicz tisse des logiques incongrues mais rigoureuses, ayant pour résultat un « polar du subconscient », dont la dimension musicale est issue des mêmes démarches.

Toujours à la recherche d’un rapport organique entre musique, mise en scène et scénographie, l’équipe conçoit avec Max Bruckert du Grame, un dispositif musical scénique permettant que des objets de la vie courante prennent une dimension acoustique et soient mis en vibration par voie électronique. La « virtuosité de l’absurde » de ce dispositif trouve son parallèle dans les quêtes délirantes des deux protagonistes de Cosmos.

BIOGRAPHIES

FERNANDO FISZBEIN

Né en Argentine à Buenos Aires en 1977, Fernando Fiszbein, a commencé ses études musicales à l’âge de douze ans et est titulaire d’un diplôme de guitare au conservatoire Juan José Castro de Buenos Aires.
Parallèlement, il a étudié, entre 1994 et 2000, l’harmonie, le contrepoint, l’orchestration et la composition avec Gabriel Senanes. En 2000, Fernando Fiszbein s’installe en France et poursuit ses études de composition avec Ivan Fedele au CNR de Strasbourg, où il obtient le prix de composition mention très bien. En 2007, il réalise le cursus 1 d’informatique musicale de l’IRCAM. En 2010 il obtient un Master en Composition du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, où il étudie avec Frédéric Durieux, Marc-André Dalbavie, Michaël Lévinas, Claude Ledoux, Luis Naòn, Yann Geslin et Tom Mays. 

Ses compositions ont reçu 11 prix internationaux et ont été interprétées par les orchestres du CNSMDP, OLC, Lamoureux, Philharmonique de Strasbourg, de la Réunion et de la ville de Thessaloniki et par différents ensembles comme Aleph, Almaviva, Alternance, quatuor Arditti, Aton, le Balcon, Court-circuit, Dédalo, quatuor Diotima, Divertimento, l’Instant Donné, les solistes de l’Ensemble Intercontemporain, KDM, Multilatérale, MDI, SMASH et Uruboros.

Son première opéra, « Avenida de los Incas 3518 », dont il est aussi librettiste a été créé par l’ensemble Le Balcon dirigé par Maxime Pascal en 2015 au Théâtre de l’Athénée, l’Opéra de Lille, et le Centre Culturel Kirchner de Buenos Aires.

Son deuxième opéra, Cosmos d’après le roman de Witold Gombrowicz, lauréat d’une bourse d’aide à l’écriture de la DGCA a été créé en 2022 à la B !ME, Biennale des Musiques exploratoires de Lyon avec Le GRAME et L’Ensemble 2e2m dans une mise en scène de Jacques Osinski.

Il fonde en 2013 l’ensemble Carabanchel, réunissant des figures clé de la musique contemporaine, des musiques populaires latino-américaines et du jazz. Il a composé la musique de « Place publique » et « Au bout du conte », films d’Agnès Jaoui et accompagne régulièrement celle-ci lors de concerts. On a ainsi pu le voir dernièrement aux côtés de la comédienne chanteuse sur la scène du Théâtre de l’Atelier dans le spectacle Dans mon salon. Ensemble, ils écrivent le livret du troisième opéra de Fernando : L’Homme qui aimait les chiens d’après le roman de Leonardo Padura.

JACQUES OSINSKI

Il fonde à 23 ans sa première compagnie théâtrale. Dès ses débuts, son goût le porte vers les auteurs du Nord tels Knut Hamsun (La Faim, avec Denis Lavant en 1995), Ödön von Horváth (Sladek soldat, de l’armée noire en 1997), Georg Büchner (Léonce et Léna en 2000), Stig Dagerman (L’Ombre de Mart en 2002), Strindberg (Le Songe en 2006) ou Magnus Dahlström (L’Usine en 2007). Parallèlement il aborde également le répertoire classique avec Richard II de Shakespeare en 2003, Dom Juan de Molière en 2005 et à nouveau Shakespeare avec Le Conte d’hiver en 2008.

De 2008 à 2013, il dirige le Centre dramatique national des Alpes à Grenoble. Il s’attache à y mettre en avant un répertoire très contemporain avec Le Grenier du japonais Yôji Sakaté (2010), Le Moche et Le Chien, la nuit et le couteau de Marius von Mayenburg (toutes trois jouées au Théâtre du Rond-Point) ou encore Mon prof est un troll de Dennis Kelly (2012). Au printemps 2009, il met en scène Woyzeck de Georg Büchner. Cette pièce initie un cycle autour des dramaturgies allemandes la Trilogie de l’errance qui se poursuit en écho par la présentation d’Un fils de notre temps d’Ödön von Horváth et par Dehors devant la porte de Wolfgang Borchert, repris au Théâtre national de Strasbourg. Durant ces années, il créera encore Le Triomphe de l’amour de Marivaux (2010), Ivanov d’Anton Tchekhov (2011), George Dandin de Molière (2012), Orage de Strindberg (2013, repris au Théâtre de la Tempête) et Dom Juan revient de guerre de son auteur fétiche Ödön von Horváth (2014) repris au Théâtre de l’Athénée en avril 2015.

Au sortir, du Centre dramatique national des Alpes, il crée la compagnie L’Aurore boréale et met en scène Medealand de Sara Stridsberg à la MC2 : Grenoble et au Studio-théâtre de Vitry puis L’Avare de Molière (création au Théâtre de Suresnes et tournée à l’automne 2015) suivi de Bérénice de Racine (création 2017, tournée).

Au festival d’Avignon 2017, Jacques Osinski dirige Denis Lavant dans Cap au pire de Samuel Beckett au théâtre des Halles puis à L’Athénée-Théâtre Louis Jouvet à Paris (tournée 2018-2019). A l’automne, il crée à Nanterre-Amandier Lenz de Georg Büchner avec Johan Leysen (tournée Comédie de Reims, KVS, NTGent…). En 2019, il poursuit son aventure avec Denis Lavant sur l’œuvre de Samuel Beckett : La Dernière bande créé au Théâtre des Halles dans le cadre du Festival d’Avignon 19 puis repris à l’Athénée-Théâtre Louis Jouvet en novembre, tourneau niveau national et international en 2020. Ce compagnonnage se poursuit en 2021 avec la création de L’Image.

A l’opéra, il met en scène en 2006 Didon et Enée de Purcell sous la direction musicale de Kenneth Weiss au Festival d’Aix-en-Provence. En 2007, il y reçoit le prix Gabriel Dussurget. Vinrent ensuite Le Carnaval et la Folie d’André-Cardinal Destouches sous la direction musicale d’Hervé Niquet créé au Festival d’Ambronay et repris à l’Opéra-Comique puis Iolanta de Tchaïkovski sous la direction musicale de Tugan Sokhiev au Théâtre du Capitole à Toulouse (2010). A l’automne 2013, il crée avec Marc Minkowski et Jean-Claude Gallotta à la MC2 : Grenoble Histoire du soldat d’Igor Stravinsky et El amor brujo de Manuel de Falla, production reprise à l’Opéra -Comique en avril 2014. En mai 2014, il met en scène Tancredi de Rossini au Théâtre des Champs-Elysées puis, en 2015, Iphigénie en Tauride de Glück (direction musicale Geoffroy Jourdain) pour l’Atelier lyrique de l’Opéra national de Paris ainsi que Lohengrin de Salvatore Sciarrino et Avenida de los incas de Fernando Fiszbein avec l’ensemble musical Le Balcon (direction musicale Maxime Pascal) au Théâtre de l’Athénée, spectacle qui reçoit le prix de la critique pour les éléments scénique (Hélène Kritikos et Yann Chapotel). A la rentrée 2018, il met en scène Le Cas Jeckyll de François Paris et Christine Montalbetti (création Arcal) puis, au printemps 2019, à l’Athénée puis à l’Opéra de Lille Into the Little Hill de George Benjamin et Martin Crimp, sous la direction musicale d’Alphonse Cemin (ensemble Carabanchel). En 2021, il collabore pour la première fois avec Benjamin Lévy à la direction musicale pour les Sept péchés capitaux de Bertolt Brecht (Athénée Théâtre Louis Jouvet-Théâtre de Caen). Il retrouve ensuite l’ensemble Le Balcon (direction musicale Alphonse Cemin) pour mettre en scène à l’Athénée et à l’ENS-Paris Saclay Words and Music de Samuel Beckett sur une musique de Pedro Garcia Velasquez. En mars 2022, il met en scène Cosmos de Fernando Fiszbein à la Biennale des musiques exploratoires de Lyon-Théâtre de la Renaissance. Il travaille actuellement à la création de Violet, opéra d’Alice Birch et Tom Coult (ENS-Saclay, Théâtre de l’Aquarium, création 2023).

Il poursuit son cycle Samuel Beckett en juillet 2022 en créant au Théâtre des Halles à Avignon, Fin de partie avec Denis Lavant, Frédéric Leidgens, Claudine Delvaux et Peter Bonke. Le spectacle est repris avec succès en janvier 2023 au Théâtre de l’Atelier et prolongé jusqu’en avril.

Photographie © Pierre Grosbois

BIOGRAPHIES

▲ FERNANDO FISZBEIN

Né en Argentine à Buenos Aires en 1977, Fernando Fiszbein, a commencé ses études musicales à l’âge de douze ans et est titulaire d’un diplôme de guitare au conservatoire Juan José Castro de Buenos Aires.
Parallèlement, il a étudié, entre 1994 et 2000, l’harmonie, le contrepoint, l’orchestration et la composition avec Gabriel Senanes. En 2000, Fernando Fiszbein s’installe en France et poursuit ses études de composition avec Ivan Fedele au CNR de Strasbourg, où il obtient le prix de composition mention très bien. En 2007, il réalise le cursus 1 d’informatique musicale de l’IRCAM. En 2010 il obtient un Master en Composition du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, où il étudie avec Frédéric Durieux, Marc-André Dalbavie, Michaël Lévinas, Claude Ledoux, Luis Naòn, Yann Geslin et Tom Mays. 

Ses compositions ont reçu 11 prix internationaux et ont été interprétées par les orchestres du CNSMDP, OLC, Lamoureux, Philharmonique de Strasbourg, de la Réunion et de la ville de Thessaloniki et par différents ensembles comme Aleph, Almaviva, Alternance, quatuor Arditti, Aton, le Balcon, Court-circuit, Dédalo, quatuor Diotima, Divertimento, l’Instant Donné, les solistes de l’Ensemble Intercontemporain, KDM, Multilatérale, MDI, SMASH et Uruboros.

Son première opéra, « Avenida de los Incas 3518 », dont il est aussi librettiste a été créé par l’ensemble Le Balcon dirigé par Maxime Pascal en 2015 au Théâtre de l’Athénée, l’Opéra de Lille, et le Centre Culturel Kirchner de Buenos Aires.

Son deuxième opéra, Cosmos d’après le roman de Witold Gombrowicz, lauréat d’une bourse d’aide à l’écriture de la DGCA a été créé en 2022 à la B !ME, Biennale des Musiques exploratoires de Lyon avec Le GRAME et l’ensemble 2e2m dans une mise en scène de Jacques Osinski.

Il fonde en 2013 l’ensemble Carabanchel, réunissant des figures clé de la musique contemporaine, des musiques populaires latino-américaines et du jazz. Il a composé la musique de « Place publique » et « Au bout du conte », films d’Agnès Jaoui et accompagne régulièrement celle-ci lors de concerts. On a ainsi pu le voir dernièrement aux côtés de la comédienne chanteuse sur la scène du Théâtre de l’Atelier dans le spectacle Dans mon salon. Ensemble, ils écrivent le livret du troisième opéra de Fernando : L’Homme qui aimait les chiens d’après le roman de Leonardo Padura.

▲ JACQUES OSINSKI

Il fonde à 23 ans sa première compagnie théâtrale. Dès ses débuts, son goût le porte vers les auteurs du Nord tels Knut Hamsun (La Faim, avec Denis Lavant en 1995), Ödön von Horváth (Sladek soldat, de l’armée noire en 1997), Georg Büchner (Léonce et Léna en 2000), Stig Dagerman (L’Ombre de Mart en 2002), Strindberg (Le Songe en 2006) ou Magnus Dahlström (L’Usine en 2007). Parallèlement il aborde également le répertoire classique avec Richard II de Shakespeare en 2003, Dom Juan de Molière en 2005 et à nouveau Shakespeare avec Le Conte d’hiver en 2008.

De 2008 à 2013, il dirige le Centre dramatique national des Alpes à Grenoble. Il s’attache à y mettre en avant un répertoire très contemporain avec Le Grenier du japonais Yôji Sakaté (2010), Le Moche et Le Chien, la nuit et le couteau de Marius von Mayenburg (toutes trois jouées au Théâtre du Rond-Point) ou encore Mon prof est un troll de Dennis Kelly (2012). Au printemps 2009, il met en scène Woyzeck de Georg Büchner. Cette pièce initie un cycle autour des dramaturgies allemandes la Trilogie de l’errance qui se poursuit en écho par la présentation d’Un fils de notre temps d’Ödön von Horváth et par Dehors devant la porte de Wolfgang Borchert, repris au Théâtre national de Strasbourg. Durant ces années, il créera encore Le Triomphe de l’amour de Marivaux (2010), Ivanov d’Anton Tchekhov (2011), George Dandin de Molière (2012), Orage de Strindberg (2013, repris au Théâtre de la Tempête) et Dom Juan revient de guerre de son auteur fétiche Ödön von Horváth (2014) repris au Théâtre de l’Athénée en avril 2015.

Au sortir, du Centre dramatique national des Alpes, il crée la compagnie L’Aurore boréale et met en scène Medealand de Sara Stridsberg à la MC2 : Grenoble et au Studio-théâtre de Vitry puis L’Avare de Molière (création au Théâtre de Suresnes et tournée à l’automne 2015) suivi de Bérénice de Racine (création 2017, tournée).

Au festival d’Avignon 2017, Jacques Osinski dirige Denis Lavant dans Cap au pire de Samuel Beckett au théâtre des Halles puis à L’Athénée-Théâtre Louis Jouvet à Paris (tournée 2018-2019). A l’automne, il crée à Nanterre-Amandier Lenz de Georg Büchner avec Johan Leysen (tournée Comédie de Reims, KVS, NTGent…). En 2019, il poursuit son aventure avec Denis Lavant sur l’œuvre de Samuel Beckett : La Dernière bande créé au Théâtre des Halles dans le cadre du Festival d’Avignon 19 puis repris à l’Athénée-Théâtre Louis Jouvet en novembre, tourneau niveau national et international en 2020. Ce compagnonnage se poursuit en 2021 avec la création de L’Image.

A l’opéra, il met en scène en 2006 Didon et Enée de Purcell sous la direction musicale de Kenneth Weiss au Festival d’Aix-en-Provence. En 2007, il y reçoit le prix Gabriel Dussurget. Vinrent ensuite Le Carnaval et la Folie d’André-Cardinal Destouches sous la direction musicale d’Hervé Niquet créé au Festival d’Ambronay et repris à l’Opéra-Comique puis Iolanta de Tchaïkovski sous la direction musicale de Tugan Sokhiev au Théâtre du Capitole à Toulouse (2010). A l’automne 2013, il crée avec Marc Minkowski et Jean-Claude Gallotta à la MC2 : Grenoble Histoire du soldat d’Igor Stravinsky et El amor brujo de Manuel de Falla, production reprise à l’Opéra -Comique en avril 2014. En mai 2014, il met en scène Tancredi de Rossini au Théâtre des Champs-Elysées puis, en 2015, Iphigénie en Tauride de Glück (direction musicale Geoffroy Jourdain) pour l’Atelier lyrique de l’Opéra national de Paris ainsi que Lohengrin de Salvatore Sciarrino et Avenida de los incas de Fernando Fiszbein avec l’ensemble musical Le Balcon (direction musicale Maxime Pascal) au Théâtre de l’Athénée, spectacle qui reçoit le prix de la critique pour les éléments scénique (Hélène Kritikos et Yann Chapotel). A la rentrée 2018, il met en scène Le Cas Jeckyll de François Paris et Christine Montalbetti (création Arcal) puis, au printemps 2019, à l’Athénée puis à l’Opéra de Lille Into the Little Hill de George Benjamin et Martin Crimp, sous la direction musicale d’Alphonse Cemin (ensemble Carabanchel). En 2021, il collabore pour la première fois avec Benjamin Lévy à la direction musicale pour les Sept péchés capitaux de Bertolt Brecht (Athénée Théâtre Louis Jouvet-Théâtre de Caen). Il retrouve ensuite l’ensemble Le Balcon (direction musicale Alphonse Cemin) pour mettre en scène à l’Athénée et à l’ENS-Paris Saclay Words and Music de Samuel Beckett sur une musique de Pedro Garcia Velasquez. En mars 2022, il met en scène Cosmos de Fernando Fiszbein à la Biennale des musiques exploratoires de Lyon-Théâtre de la Renaissance. Il travaille actuellement à la création de Violet, opéra d’Alice Birch et Tom Coult (ENS-Saclay, Théâtre de l’Aquarium, création 2023).

Il poursuit son cycle Samuel Beckett en juillet 2022 en créant au Théâtre des Halles à Avignon, Fin de partie avec Denis Lavant, Frédéric Leidgens, Claudine Delvaux et Peter Bonke. Le spectacle est repris avec succès en janvier 2023 au Théâtre de l’Atelier et prolongé jusqu’en avril.

Photographie © Pierre Grosbois

DATES

Le lundi 24 avril 2023

Durée : 1h15

TARIFS

Tarif unique / Placement libre
22 €

BILLETTERIE

Sur place et par téléphone :
01 46 06 49 24
Du mardi au vendredi de 17h30 à 21h
Le samedi de 16h à 21h
Le dimanche de 13h à 17h

PRODUCTION

Compagnie L’Aurore Boréale

CO-PRODUCTION

Coproduction Ensemble 2e2m

Avec le soutien du GRAME – Centre national de création musicale et du CNM